Home
Recherche
Publications
Enseignement
CV


Étudiants actuels (*=codirection)
  • François Pomerleau (Post-Doc)
  • Patrick Dallaire* (Ph.D.)
  • Marc-Philippe Parent* (Ph.D.)
  • Jingwey Cao* (Ph.D.)
  • Olivier Dugas (M.Sc.) (lien vers son blog technique)
  • Razieh Toony (M.Sc.)
  • Jean-Philippe Mercier (M.Sc.)
  • Sébastien Michaud (M.Sc.)
  • Ludovic Trottier* (M.Sc.)
Anciens étudiants (maintenant gradués)

Perception artificielle

La perception artificielle consiste à interpréter les données provenant de divers capteurs. Elle s'appuie souvent sur des méthodes avancées de fusion de capteurs, afin de combiner diverses modalités sensorielles. Par exemple, il est possible de combiner des informations visuelles (caméra) et volumétriques (laser) afin d'améliorer la reconnaissance des objets. Un de nos projets consiste à développer de capteurs tactiles, utilisable en robotique mobile. Ces capteurs tactiles peuvent reconnaître différentes surfaces, grâce à l'utilisation de concept comme la signature des signaux propre à chaque texture physique. Pour plus d'information, consulter les pages suivantes : reconnaissance de terrain ou perception tactile (en anglais).





L'apprentissage non-supervisé permet à un système d'apprendre de lui-même, en minimisant l'intervention humaine. Par contraste, les méthodes d'apprentissages supervisées exigent la présence d'un "professeur" qui guide le système. J'applique ces méthodes pour des problèmes de classification en perception artificielle, par exemple l'identification des types de surfaces (terrains, sols, planchers, matériaux), pour des robots mobiles dotés de capteurs visuels, tactiles, proprioceptifs ou inertiels.


Robotique en milieu arctique

L'exploration du territoire arctique présente de nombreux défis pour la robotique mobile, tel que l'éloignement et les conditions climatiques rudes. Aussi, les surfaces escarpées et enneigées limitent les possibilités de déplacement pour les véhicules muent par roues. De ce fait, les robots se déplaçant à l'aide de pattes permettraient d'étendre les endroits accessibles pour ces véhicules autonomes. L'objectif de ce projet de recherche serait de combiner des stratégies d'exploration du territoire avec des plateformes robotiques mobiles à pattes.
Axel Heiberg, Extrême-Arctique


Barbade

Robotique sous-marine

Le robot Aqua, projet conjoint entre l'Université McGill et York University, est un robot amphibie à pattes. Sous l'eau, le robot se déplace à l'aide de six nageoires, lui conférant une agilité exceptionnelle. Le robot est équipé de deux ordinateurs, de caméras. Le but de ce projet est d'automatiser la surveillance en mer, par exemple pour dresser une carte en 3D de récifs de corail.

Pour plus de détails sur le projet, consultez le site www.aquarobot.net.